Pour cette sixième édition du festival, j'ai voulu produire un visuel volontairement chargé et fourmillant de détails tout en travaillant sur le mouvement du visuel, scanné à partir d'un livre sur le cinéma japonais des années 60.
J'aime l'idée que le regard du spectateur peux se déplacer sur le visuel pour y déceler les différents détails. J'ai travaillé ce visuel en recherchant constamment le juste équilibre entre la (sur)charge d'informations et l'homogénéité des éléments qui la compose.